Trois F-16 hollandais viennent de rejoindre le Centre Européen de Formation F-16 (EFTC). Ce dernier doit entrainer les pilotes roumains sur les F-16 mais aussi et surtout, entrainer les pilotes ukrainiens sur ce même appareil. Afin d’appuyer la communication sur ce transfert et le soutien apporté à l'Ukraine, la ministre de la Défense des Pays-Bas et le commandant de la Force aérienne royale néerlandaise avaient fait le déplacement.
Alors que leur entrainement primaire est terminé au Royaume-Uni, un premier groupe de pilotes ukrainiens devrait prochainement faire ses premières heures de vol sur des F-16 danois mais aussi norvégiens. Deux F-16BM norvégiens doivent prochainement arriver au Danemark pour former les pilotes ukrainiens sur cet appareil en vue des prochaines livraisons de F-16 à l’Ukraine.
Une récente intervention du commandant des Forces aériennes américaines en Europe et en Afrique permet de confirmer que le cycle d’entrainement des pilotes ukrainiens passera bien par la France. Après un bref passage sur avion à hélices, leur phase d’entrainement avancée sera effectuée en France sur les Alfa Jet de l’Armée de l’Air et de l’Espace. Une fois formés, ceux-ci pourront enfin s'entrainer sur les avions de combat F-16 mais il faudra attendre 2024 pour voir les F-16 voler en Ukraine.
Les récentes annonces permettent de confirmer que l’entrainement des pilotes ukrainiens peut commencer. Un premier groupe de pilotes est même déjà parti vers l’un des centres d’entrainement. Au total, près de 11 pays ont confirmé leur volonté d’entrainer les pilotes et personnels au sol ukrainiens sur les avions de combat F-16.
Au début du mois de mars, le Corps des Marines américains et la Marine américaine ont effectué des essais d’interopérabilité entre des hélicoptères pilotés et un drone. Ce regroupement d'appareils s’inscrit dans la conception américaine des opérations amphibies futures, combinant des éléments de soutien de l'US Navy auprès des moyens de combat des Marines.
Alors que la Russie cherche à intervenir dans la BSS avec le soutient d'Alger, cet accord sur un premier entrainement conjoint et dans une zone de guerre, démontre que les deux pays sont peut-être passés au stade opérationnel de leur projet sahélien
Cette décision confirme la non navalisation du futur Tempest
200 militaires des forces spéciales russes participent à un entraînement en Serbie
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