Un capteur simple et pratique pour compter les efforts supportés
Un capteur simple et pratique pour compter les efforts supportés
© SilMach

publié le 20 avril 2024 à 09:30

2365 mots

Un capteur simple et pratique pour compter les efforts supportés

Un capteur à la fois rustique et pratique, peu sensible à la météo et qui peut être stocké de manière presqu’indéfinie avant d’être à nouveau employé. Le tout sans stockage informatique ni risque potentiel de pertes de données. C’est le système créé par une petite société française établie à Besançon, SilMach. Son dispositif a été employé jusqu’alors sur avion, hélicoptère et ponts du génie militaire. Sa simplicité fait sa force.

Un capteur conçu à Besançon... 

SilMach est une PME française dont les établissements sont à Besançon. Composée d’une trentaine d’employés, cette société française se caractérise et brille par son capteur, qui a fait l’objet d’essais sur le train d’atterrissage d’un Airbus A320, sur le rotor de queue d’un hélicoptère et qui

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20/04/2024 09:30
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Un capteur simple et pratique pour compter les efforts supportés

Un capteur à la fois rustique et pratique, peu sensible à la météo et qui peut être stocké de manière presqu’indéfinie avant d’être à nouveau employé. Le tout sans stockage informatique ni risque potentiel de pertes de données. C’est le système créé par une petite société française établie à Besançon, SilMach. Son dispositif a été employé jusqu’alors sur avion, hélicoptère et ponts du génie militaire. Sa simplicité fait sa force.

Un capteur simple et pratique pour compter les efforts supportés
Un capteur simple et pratique pour compter les efforts supportés

Un capteur conçu à Besançon... 

SilMach est une PME française dont les établissements sont à Besançon. Composée d’une trentaine d’employés, cette société française se caractérise et brille par son capteur, qui a fait l’objet d’essais sur le train d’atterrissage d’un Airbus A320, sur le rotor de queue d’un hélicoptère et qui a été par ailleurs adopté par le génie de l’Armée

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