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publié le 15 novembre 2022 à 16:36
452 mots
Imaginé en 2020 par le général Thierry Burkhard alors chef d’état-major de l’armée de terre, l’exercice Orion est devenu un exercice interarmées et interallié, devant permettre de vérifier l’aptitude des armées françaises à la haute intensité.
L’EMA et les armées ont livré ce matin les grandes masses de cet exercice en quatre phases, dont deux généreront des déploiements présentés comme inédits. Orion 2, en février, verra un débarquement amphibie dans la région de Sète puis la saisie d’un port, ainsi qu’une
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Imaginé en 2020 par le général Thierry Burkhard alors chef d’état-major de l’armée de terre, l’exercice Orion est devenu un exercice interarmées et interallié, devant permettre de vérifier l’aptitude des armées françaises à la haute intensité.
L’EMA et les armées ont livré ce matin les grandes masses de cet exercice en quatre phases, dont deux généreront des déploiements présentés comme inédits. Orion 2, en février, verra un débarquement amphibie dans la région de Sète puis la saisie d’un port, ainsi qu’une opération aéroportée sur l’aéroport de Castres (un copié-collé de l’exercice
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