Le microlanceur Electron a placé sur orbite basse le petit satellite Adras-J, qui doit effectuer la première tentative au monde d'approche et de caractérisation d’un imposant débris orbital.
La jeune pousse toulousaine va déployer la première constellation européenne dédiée à l’Internet des Objets à partir de l’été prochain, depuis la Nouvelle-Zélande.
Le microlanceur de Rocket Lab a réussi son retour en vol le 15 décembre, moins de trois mois après l’échec en vol de sa quarantième tentative de mission orbitale.
La semaine qui s’achève a été marquée par les échecs successifs du microlanceur Electron (de la société américano-néo-zélandaise Rocket Lab) et de son homologue Ceres 1 (de la startup chinoise Galactic Energy).
La société américano-néo-zélandaise Rocket Lab a procédé le mois dernier au quarantième lancement de son lanceur Electron (dont un vol surborbital). Lequel est désormais le premier microlanceur commercial au monde.
Le petit lanceur de la société américano-néo-zélandaise Rocket Lab a effectué sa 33e mission le 24 janvier. Il était mis en œuvre pour la première fois depuis la base de Wallops Island.
Le microlanceur Electron, mis en œuvre depuis la Nouvelle-Zélande, a donné le coup d’envoi de la mission du petit démonstrateur de la Nasa, qui doit valider la stabilité de l’orbite de la future station cislunaire Gateway.
Tandis que SpaceX s’est attribué cinq des onze lancements réussis le mois dernier à travers le monde, on constate que les 319 charges utiles embarquées ont toutes été déployées sur orbite basse.
La date de lancement de la mission Capstone, première charge utile lunaire confiée à la société d’origine néo-zélandaise Rocket Lab, vient de glisser d’une semaine.