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La proposition de Lockheed Martin dans le cadre du programme APT (Advanced Pilot Training), soit le T-50A, a dépassé les 100 heures de vol.100 heures de vol. Le pilote d'essais de Lockheed Martin, Mark "Red" Ward, est ainsi devenu le premier aviateur à accumuler ce nombre d'heures aux commandes du T-50A, la proposition de l'avionneur de Bethesda dans le cadre du programme ATP (Advanced Pilot Training, entraînement avancé) destiné à former les futurs pilotes de F-22 et de F-35 qui équipent l'US Air Force. Ward a passé le cap des cent heures de vol juste après avoir décollé de Greenville, en Caroline du Sud, le 4 novembre, lors d'un vol à destination de San Antonio. En février 2016, Lockheed Martin a annoncé son offre T-50A, lequel bénéficiera d'un assemblage final à Greenville, dont l'usine FACO (Final Assembly and Check Out) a été officiellement inaugurée en août 2016. Les opérations (vol) ont débuté à Greenville en novembre 2016.
L'avion d'entrainement de Lockheed-Martin, T-50A, a dépassé le cap des 100 vols.Lockheed Martin poursuit les essais en vol de l'avion de formation et d'entraînement T-50A. L'industriel américain a annoncé, le 4 octobre 2017, que l'appareil a franchit le cap symbolique des 100 vols. Le T-50A est développé en partenariat avec Korean Aerospace Industries. L'appareil est d'ailleurs une version adapté au besoin américain du T-50 Golden Eagle de l'armée de l'air sud coréenne. Le T-50 a effectué son premier vol en 2002. Le T-50A vole lui depuis juin 2016. L'appareil est proposé à l'US Air Force dans le cadre du programme T-X visant au remplacement des T-38 Talon et à la modernisation du processus de formation et d'entrainement des pilotes de chasse américains. Le principal concurrent du T-50A est le T-X (BTX-1) de Boeing, conçu en partenariat avec Saab. Lockheed annonce avoir achevé le programme d'essais réclamé par l'US Air Force. Les vols du T-50A vont cependant...
Ce sont désormais deux Lockheed Martin T-50A qui évoluent dans les cieux au-dessus de Greenville, en Caroline du sud. Le second T-50A a effectué son premier vol le 20 février. Un an plus tôt, en février 2016, Lockheed Martin a annoncé son intention de proposer le T-50A dans le cadre de la compétition APT (Advanced Pilot Training, APT, entraînement pilote avancé) et d'effectuer l'assemblage final de son T-50A FACO (Final Assembly Check Out) ainsi que son contrôle à Greenville. L'avionneur a précédemment dévoilé son T-50A FACO ainsi que sa chaîne d'assemblage de Greenville en août 2016.
En dépit du retrait de Raytheon, l'avionneur italien a décidé de continuer à proposer son T-100 dans le cadre du programme T-X, face à Lockheed Martin KAI (Korean Aerospace Industries) avec son T-50A et Boeing Saab avec son jet monoréacteur. Leonardo s'est ainsi trouvé un nouveau partenaire américain, oeuvrant de concert avec la société DRS Technologies, deux semaines après avoir annoncé la fin de son partenariat avec Raytheon. DRS Technologies, basé à Arlington en Virginie, a été acquise en 2008 par Leonardo (alors Finmeccanica) et l'entreprise aura la pleine supervision du T-100, pour lequel elle cherche d'ailleurs actuellement une usine susceptible d'accueillir la chaîne d'assemblage du T-100. Raytheon n'a pas été le seul à se retirer de la compétition, puisque Northrop Grumman en a fait de même en l'annonçant le 1er février.
Et de deux ! Après Raytheon Leonardo-Finmeccanica qui s'est retiré du programme avec son T-100 en l'annonçant publiquement le 24 janvier, c'est désormais au tour de Northrop Grumman et de son partenaire BAE Systems d'abandonner la partie. Les deux sociétés ont "soigneusement examiné le cahier des charges du T-X ainsi que la stratégie d'acquisition et ont décidé de ne pas soumettre de proposition au porgramme d'avion d'entraînement T-X car, cite le communique de presse, dans le cas inverse ce ne serait pas dans l'intérêt des (deux) sociétés et de leurs actionnaires". Ce retrait intervient après la construction par Scaled Composites, la filiale de Northrop Grumman, du monomoteur Model 400 à Mojave, en Californie. Cet appareil aurait du concourrir dans le cadre du programme T-X. Ne reste donc que deux conccurents, Lockheed Martin associé à KAI (Korea Aerospace Industries) avec le T-50A, une variante du T-50 Golden Eagle opposé à Boeing associé à Saab, qui propose...
Le Boeing T-X a effectué son premier vol le 20 décembre 2016. Le candidat au remplacement du Northrop T-38 talon a effectué son baptême de l'air, d'une durée de cinquante-cinq minutes. Il aura fallu à Boeing, trente-six mois entre le premier coup de crayon et le premier vol de l'appareil. Steven Schmidt était aux commandes de l'avion tandis que le chef pilote pour les programmes de l'US Air Force, Dan Draeger, était assis dans le siège arrière. Le vol s'est déroulé conformément aux attentes et Draeger a félicité l'avionneur pour la vue offerte lors du vol. Le monoréacteur de Boeing est en concurrence directe avec l'appareil proposé par Northrop Grumman, le modèle 400, qui a effectué de son côté son premier vol en août 2016. Dans les rangs adverses figurent également le Lockheed Martin T-50A, conçu en partenariat avec le constructeur aéronautique sud-coréen KAI, ainsi que le T-100 de Raytheon, basé sur le Leonardo M-346. Le second prototype du T-X, qui...
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